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LA DUREE DE VIE

DES DIFFERENTS

SUPPORTS DE STOCKAGE

 

Avant d’énumérer la durée de vie des différents supports existants, voici quelques conseils (que donnent le site LabCenter pour éviter de perdre ses données stockées sur un support :

  • Faire des sauvegardes régulières : Il faut toujours dupliquer les fichiers originaux de votre ordinateur et les sauvegarder sur un espace de stockage externe, que ce soit un disque dur externe, une clé USB ou sur le Cloud. Il est également possible de faire une sauvegarde système sur votre disque dur externe, ce qui facilitera la réinstallation si jamais le disque dur interne de votre ordinateur venait à lâcher.
  • Protéger le disque dur des chocs (vibrations, fixation du disque dur interne sur une unité centrale) : Le moindre choc ou mouvement brusque peut perturber les têtes de lecture d’un disque dur en fonctionnement, provoquant des rayures sur les plateaux du disque dur. Vous risquez la perte de vos données et le disque devient inutilisable. Il faut ainsi s’assurer qu’un disque dur interne est bien vissé, ne jamais déplacer un ordinateur en cours d’utilisation, et bien sûr le manipuler avec précaution pour éviter toute chute accidentelle.
  • Eviter toute exposition à la chaleur et l’humidité : Une source de chaleur ou de vibrations, un aimant ou encore une exposition à l’humidité ou à un volume sonore important sont autant de facteurs qui accélèrent l’usure d’un disque dur. A ce titre, l’installation de ventilateurs est vivement conseillée pour l’unité centrale d’un ordinateur de bureau. Pour un PC portable, c’est l’usage d’un support de refroidissement qui est recommandé.
  • Défragmenter le HDD : Pensez à entretenir votre disque dur en évitant de le surcharger. A force d’installer des logiciels et des données puis d’en supprimer certaines, le disque dur se retrouve parsemé de vides et de fragments de fichiers. Cela a pour conséquence d’altérer les performances de votre disque dur. Pour remédier à cela, vous pouvez défragmenter le disque avec votre système d’exploitation ou des logiciels extérieurs.
  • Ne pas défragmenter un SSD : A l’inverse du HDD, défragmentation et SSD ne font pas bon ménage ! La défragmentation n’a aucun effet positif, car la mémoire flash n’est pas soumise aux mêmes problématiques de mouvements de la tête de lecture. Cela va au contraire consommer des lectures et écritures pour rien, et donc user le support sans aucune plus-value. Il est plus utile d’activer la fonction TRIM en revanche, une commande de nettoyage spécifique aux disques SSD.

REMARQUE IMPORTANTE : COMMENT SAVOIR SI

LA FONCTION TRIM DE SON SSD EST ACTIVEE?

Pour vérifier si la fonction TRIM est activée sur un SSD, exécuter cmd en tant qu’administrateur et saisissez : fsutil behavior query DisableDeleteNotify

Si en validant, on voit :  DisableDeleteNotify = 0, la commande TRIM est bien activée.

Si elle retourne DisableDeleteNotify = 1, la commande n’est pas activée.

Dans ce cas, saisissez la commande suivante pour l’activer :

fsutil behavior set DisableDeleteNotify 0

  • Il est conseillé de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier : Pour être certain de préserver vos données, il est préférable de posséder au moins deux disques durs et de dupliquer systématiquement les données. L’idéal est une utilisation combinée des disques durs au sein d’un système RAID 1 : la redondance des données apporte une sécurité supplémentaire tandis qu’un seul disque est sollicité lors des opérations de lecture ce qui réduit l’usure et prolonge la durée de vie.

1. LE CD / DVD

Annoncé d’une durée de vie d’une centaine d’année par certains constructeurs, la réalisé est tout autre.

Les CD gravés ont une durée de vie nettement inférieurs à ceux du commerce.

La durée de vie dépend de ses conditions d’utilisation.

Cela va dépendre également du substrat utilisé pour la couche qu’il y a au dessus.

Selon des études :

  • Substrat bleuté : 5 à 7 ans
  • Substrat à base d’argent : 6 à 8 ans
  • Substrat à base d’or : 8 à 10 ans

Pour conserver ses données dans de bonnes conditions, on conseille :

  • Préférez le CDR au CDRW
  • Le conserver à l’abri de l’air, de la chaleur et de la lumière. (Température idéale : entre 4 et 25°C)
  • Saisir le disque en plaçant un doigt au centre, un autre sur la tranche. (éviter de toucher la partie gravée)
  • Refaire une copie tous les 5 ans.

Selon le site CNETFRANCE

2. LE Blu Ray

Selon le site 01net.com, 

On connaît la capacité des disques Blu-ray, elle est cinq fois supérieure à celle d’un DVD, mais on ignore leur longévité. La technologie est en effet trop jeune, les méthodes de production des disques vierges ne sont pas arrivées à maturité. Les scientifiques ne livreront pas leurs conclusions avant quelques années.
Dans la balance, un argument penche en la défaveur du Blu-ray : ses pistes sont plus fines que celles du DVD, ce qui pourrait les rendre plus vulnérables. En revanche, certains Blu-ray vierges estampillés Sony sont fabriqués sans matière organique, ce qui pourrait améliorer leur stabilité à long terme. Pour l’heure, le DVD est un choix plus prudent. Dans deux ans, on en saura plus.

 

3. LA CLE USB

Selon le site : https://www.lesnumeriques.com et le constructeur LaCie ( https://www.lacie.com/fr/fr/),

 

  • même si ça fonctionne bien, sous Windows en particulier, débrancher sauvagement une clé USB réduit chaque fois sa durée de vie !
  • on trouve couramment de la mémoire de type TLC dans les clés USB.
  • oui, la durée de vie des clés USB est réduite. Il ne faut pas considérer ce support comme fiable dans le temps.

Il y a une différence de longévité entre clé usb, carte mémoire et disque dur SSD.

Les disques SDD (à la différence d’une clé USB ou d’une carte mémoire) utilisent des composants flashs de qualité supérieure. De plus, les contrôleurs SSD sont bien plus évolués que ceux embarqués sur les clés ou les cartes mémoire. Ils savent optimiser la flash et faire en sorte de la ménager (fonction TRIM, wear leveling plus évolué, etc.).

Il existe 3 types de mémoires flashs (expliqués en détail : ICI)

  •  SLC, pour Single Layer Cell, 1 bit par cellule.
  •  MLC, pour Multi Level Cell, 2 bits par cellule.
  •  TLC, pour Triple Level Cell, 3 bits par cellule.

La meilleure, et la plus onéreuse, est la SLC. La moins bonne, et vous l’aurez deviné la moins chère, est la TLC. Les SLC / MLC / TLC ont des durées de vie et des nombres de cycles lecture/écriture différents : entre 300 cycles pour la TLC et 100 000 pour la SLC.

La TLC et la MLC sont généralement utilisées dans les clés USB, les cartes mémoire et tous les autres périphériques USB où l’accès aux données n’est pas continu (pour du stockage temporaire par exemple).

Les SSD font eux couramment appel à de la mémoire de type SLC ou MLC.

Les différents types de flash influent donc sensiblement sur la durée de vie d’une clé USB ou d’une carte mémoire.

Il y a aussi un autre point à prendre en compte : l’utilisateur.

  • Branchera-t-il sa clé sur un port USB répondant parfaitement aux normes décrites par l’USB-IF ( dont la tension de 5 V) ?
  • Prendra-t-il le temps d’éjecter “proprement” sa clé avant de la débrancher ?
  • S’en servira-t-il quotidiennement ou seulement une à deux fois par mois ?

Pour la faire durer un maximum, voici quelques conseils :

 

  • La couvrir avec un bouchon pour empêcher l’accumulation de poussières et de contaminants sur les contacts.
  • Ne pas exposez sa clé USB à des conditions difficiles, telles que des températures extrêmes et l’humidité.
  •  Ne jamais retirer la clé USB de l’unité centrale ou à partir du port USB alors qu’elle est encore en fonctionnement. L’éjecter “proprement” (Faire un clic droit sur ​​la clé USB et sélectionner “Ejecter”) avant de le retirer de son ordinateur.
  • Ne pas la laisser branché à l’ordinateur pour une période de temps prolongée. La débrancher si on ne l’utilise pas.

Sur une clé USB, la durée de rétention des données est inférieure à 10 ans et le risque de perte de données est relativement élevéLe moyen de stockage le plus sûr à ce jour reste le disque dur.

4. LA CARTE MEMOIRE

La durée de vie d’une carte SD va dépendre du nombre de cycle (écriture / lecture). Sur un forum du site : https://www.eos-numerique.com, on nous dit que la mémoire flash utilisée dans les cartes  s’use. Les meilleures (et les plus chères) peuvent supporter 100 000 cycles d’écriture (2010). L’électronique de la carte est conçue pour répartir les écritures sur les différents blocs afin d’optimiser la durée de vie du support.

Même si en moyenne sa durée de vie est de 10 ans, pour faire durer une carte mémoire  le plus longtemps possible il est préférable de :
ne pas les remplir complètement afin de laisser de la place répartir les écritures sur des blocs peu usés
ne pas effacer les photos mais plutôt “formater” la carte quand elle est remplie à plus de la moitié de sa capacité (le terme formater est impropre mais tellement utilisé…),. Cette opération génère moins d’écritures (et donc moins d’usure) que l’effacement des fichiers même si les photos ne sont pas réellement effacées.
L’usure se manifeste à l’écriture, un fichier écrit reste stocké.

Les cartes sont parfois garanties à vie mais pas les photos qui étaient dessus, les constructeurs parient sur le fait que de si petits objets sont perdus ou obsolètes avant d’être usés.

5. LE DISQUE DUR, LE SSD ET LE DISQUE DUR EXTERNE

  • Que ce soit interne ou externe, selon le site colblue le disque dur HDD est un ensemble de cylindres plats empilés. Comme une platine vinyle ancienne, le disque tourne pendant que la tête de lecture et d’écriture lit le disque ou écrit de l’information. Vous le sentez quand vous touchez votre ordinateur portable ou votre PC, car la rotation cause du bruit et de légères vibrations. Au fil des ans, les fabricants ont réussi à rendre les HDD plus petits et plus compacts, ce qui permet une grande capacité de stockage. Il existe des HDD avec une capacité de stockage jusqu’à 12 To. Le prix au Go du HDD est moins élevé que celui du SSD.
  • Le disque dur HDD interne a une durée de vie moyenne de 5 à 10 ans pour une utilisation moyenne. Sa durée de vie sera réduite à 5 ans pour une utilisation intensive. Le principal souci rencontré est que si on le laisse tomber, le choc permet peu souvent de récupérer les données (sauf en salle blanche réalisée par un professionnel : solution très onéreuse : 0.80 euros du Go.)
  • Le disque dur externe HDD aura une durée de vie réduite à 3 ans s’il est utilisé de façon intensive. Il est conseillé de le conserver dans un endroit frais et sec
  • Le disque dur SSD : Selon ConfigsPc, les premiers SSD sont apparus au milieu des années 2000, mais leur démocratisation réelle n’est que récente dans nos machines. SSD signifie Solid State Drive, il s’agit d’un support de stockage alternatif aux disques durs constitué de mémoire flash. C’est une technologie de rupture car les SSD n’ont strictement rien à voir sur le plan technologique avec les disques durs classiques (HDD) qui utilisent des plateaux magnétiques pour stocker les données. Un SSD est un genre de disque dur avancé. La technologie SSD est plus chère à produire, mais grâce aux techniques de fabrication intelligentes des fabricants de SSD, 1 Go de SSD devient de plus en plus avantageux. Il existe des SSD avec une capacité de stockage jusqu’à 4 To.
  • ATTENTION : La durée de vie d’un SSD diminue si l’OS est installé dessus : les vibrations et le nombre d’écritures réduisent sa durée de vie. Conseil : Faire un clone de son SSD quand celui-ci tourne bien. Ainsi, le jour où il “rend” l’âme, il suffira de le changer par un SSD au moins de la même capacité voire plus pour pouvoir le cloner facilement.

Que prendre? UN SSD ou un HDD?

Selon le site : https://www.coolblue.be/fr/

1. SSD : vitesse et fiabilité

Vous voulez rendre votre expérience plus rapide et démarrer en 15 secondes, charger plus rapidement des programmes et jouer plus vite à vos jeux vidéo ? Vous utilisez presque tous les jours votre appareil pour plusieurs tâches et n’avez pas besoin de plus de 500 Go pour votre stockage ? Alors, choisissez un SSD. Ce faisant, vous donnez un boost à la vitesse de votre appareil. Vous rendez aussi votre appareil plus silencieux et plus économe. Et vous ne dépenserez pas trop d’argent.

Le SSD est conseillé pour :

  • Mettre à niveau la vitesse pour une utilisation quotidienne, afin de démarrer et charger des programmes rapidement.
  • Les gamers PC avec une collection de jeux vidéo modeste.
  • Les graphistes, les éditeurs vidéo et les producteurs de musique.

 

2. HDD : large capacité de stockage.

 Vous voulez sauvegarder des collections vidéo et des bibliothèques photo entières, ou même une grande collection de jeux ? Un disque HDD propose une capacité adéquate, plus avantageuse qu’un SSD. Si vous avez un NAS, un HDD convient également mieux pour utiliser des matrices RAID et conserver de grandes quantités de données. À cause de la connexion réseau de votre NAS, vous perdez l’avantage de la vitesse du SSD.

Le HDD est conseillé pour :

  • Les gamers console qui veulent conserver plus de 5 jeux,
  • Les gamers PC qui ont une grande bibliothèque de jeux,
  • Les graphistes, les éditeurs vidéo et les producteurs de musique,
  • Les utilisateurs de NAS.

Le SSHD 

Selon LabCenter, si les disques durs traditionnels demeurent incontournables, les SSD gagnent du terrain et équipent environ un tiers des PC portables désormais. Plus rapide et résistant qu’un HDD classique, le matériel équipé de mémoire Flash est aussi plus cher. Dans ce contexte, le disque dur hybride s’impose comme une alternative intéressante en réunissant les avantages des deux systèmes. 

Comment se fait la combinaison des 2?

le HDD pour « Hard Drive Disk » : doté d’une grande capacité de stockage, vous pouvez aujourd’hui trouver des disques durs de plus d’un téraoctet pour moins de 80 euros ;
le SSD pour « Solid State Drives » : il repose sur la mémoire Flash et se trouve de ce fait moins exposé à des défaillances en cas de choc physique. Néanmoins, sa « date de mort » est programmée en fonction du nombre de cycles d’écriture. Il est aussi plus cher : pour une capacité d’un téraoctet, il vous faudra débourser plus de 180 euros.

Le disque dur hybride (SSHD) combine les deux technologies – mémoire flash (SSD) et plateaux électromagnétiques rotatifs (HDD) – pour en faire un disque dur SSHD ou « Solid State Hybrid Drive ». L’idée avec un SSHD est de profiter de la performance du premier et de la capacité de stockage du second. Les données, fichiers ou logiciels souvent utilisés seront mis en cache sur le SSD – une sorte de copie – pour y accéder plus rapidement. On y retrouve généralement le système d’exploitation pour accélérer la vitesse de démarrage de l’ordinateur. La mémoire flash d’un disque dur hybride se limite généralement à 8 ou 16 Go.

La répartition des données entre la partie SSD et les plateaux traditionnels se décide au niveau du contrôleur du disque SSHD. C’est en effet lui qui décide de déplacer les données les plus sollicitées vers la mémoire flash.

D’une manière générale, le SSHD est plus fiable et moins énergivore que le HDD.

En effet, le disque dur hybride permet de profiter d’une excellente capacité de stockage tout en gardant des performances intéressantes, le tout à un prix dépassant de peu celui du disque dur traditionnel. Le SSHD est bien entendu plus coûteux qu’un disque dur classique HDD, mais reste bien en dessous du prix d’un SSD.
En outre, le SSHD profite des autres avantages de la mémoire flash :
consommation en électricité moins importante ;
• production de chaleur réduite ;
durée de vie et fiabilité accrues.

Le système SSHD étant par définition hybride, il présente quelques inconvénients liés à l’utilisation d’un disque dur HDD. En comparaison avec un lecteur SSD, le disque hybride ne sera pas entièrement silencieux et sa résistance aux chocs et à la poussière sera moindre en raison des plateaux électromagnétiques du disque dur HDD. Concernant la récupération de données sur SSHD, elle est plus complexe et nécessite une approche sur mesure.
Malgré ces quelques inconvénients, le disque dur hybride (SSHD) reste une excellente alternative pour les utilisateurs cherchant à optimiser le fonctionnement de leur ordinateur au meilleur prix.

Le CLOUD

 Dans notre Académie, nous avons la chance de disposer, pour le moment d’un espace de stockage de 1 Téra. Mais quels sont les avantages et inconvénients du CLOUD?

Outre les intrusions directement sur les serveurs, il suffit au pirate de récupérer les adresses mail et les mots de passe associés, d’où l’importance d’en changer régulièrement et d’opter pour une combinaison complexe.

Selon le site https://www.silkhom.com, il nous donne quelques indications précieuses :

  • Durée de vie : quasi-infinie
  • Avantages : capacité illimitée, fiabilité de 99 % de conserver ses données, ne prend pas de place chez soi.
  • Désavantages : payant au forfait, le stockage ne vous appartient pas, si le data-center rencontre un problème cela vous impacte directement, peu écologique.

Invention la plus récente pour conserver ses données de manière très fiable, le Cloud s’impose comme une nouvelle solution viable pour sauvegarder ses fichiers. En effet, en échange d’un abonnement qui dépend de la capacité demandée. Il faut également penser qu’une connexion est nécessaire pour récupérer ou transvaser des fichiers sur le Cloud. Si cette stratégie permet d’avoir un endroit extrêmement fiable, puisque si une machine tombe en panne les données sont immédiatement transférées ailleurs, il est difficile de tout contrôler lorsqu’elles partent dans le nuage. Difficile de savoir où elles se trouvent exactement, impossible non plus d’être 100 % à l’abri d’un souci de serveur comme cela a pu arriver dans l’année au réseau social Facebook. Et, lorsque tout est down, impossible d’accéder à ses données. On ne peut pas non plus être à l’abri d’un incendie. Si ces cas sont extrêmes, ils restent possibles quand on ne sait pas où sont nos données et comment elles sont gérées. De plus, les Data Center sont très énergivores et tendent à être de plus en plus imposants. Jusqu’où iront nos données si la fiabilité de ce moyen stockage s’étend à l’ensemble de nos fichiers ?

 

Ce qui est important à savoir : On est jamais à l’abri d’une casse, d’un incendie, d’une perte, d’un vol,… Il est donc conseillé d’effectuer régulièrement des sauvegardes et d’utiliser plusieurs supports.

Voici le FUTUR :  ADN, quartz et… bandes magnétiques

 

* ADN

Des projets sont actuellement menés pour trouver une technologie capable de conserver nos données numériques pour… l’éternité. Des chercheurs se sont par exemple tournés vers l’ADN : ils ont réussi à “encoder” (Microsoft veut stocker des données sur des fragments d’ADN, un article de CNETFRANCE y est consacré : ICI), insérés dans de minuscules capsules de silice. Soumises à un vieillissement accéléré, elles se sont révélées très résistantes, puisque les données restent intactes, même au bout de 2000 ans. Ce procédé pourrait être accessible d’ici une dizaine d’années.

Une vidéo sur Youtube l’explique ICI

 

* Support à base de quartz

Des scientifiques du laboratoire de Hitachi ont de leur côté conçu un support à base de quartz (un article est disponible : ICI). La durée de stockage peut atteindre “des centaines de millions d’années”. Cette technologie devrait d’abord être réservé aux entreprises, mais finira par être commercialisée pour tous, selon Hitachi.

 

Pour terminer, quelques frises sympas  à découvrir…

Sources : http://crashplan.com/medialifespan

  • DUREE DE VIE DES DIFFERENTS SUPPORTS INFORMATIQUES

  • DUREE DE VIE DES SUPPORTS AUDIOS

  • DUREE DE VIE DES SUPPORTS VIDEOS

  • DUREE DE VIE DES SUPPORTS PHOTOS

  • DUREE DE VIE D’UN CLOUD

 

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